33 commentaires sur « St Martin Lys »

1. Comment on accède à https://teuliere.github.io/

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   1. En copiant l’URL https://teuliere.github.io/ dans la barre de navigation

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2. Est ce que j’aurais une réponse ?

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   1. Je m’efforcerai de répondre
      Pour la grotte de la Pierre Lys, elle s’appelle Gourg Bouillidou

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3. Je viens de découvrir votre site qui est très intéressant sinon passionnant Me manquerai , à moins que je n’ai pas su la trouver, une page d’accueil recensant tous les sites disponibles.
   Cordialement,

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   1. Bonjour,
      La page d’accueil index de mon site est https://teuliere.github.io/,
      Quasiment tous les liens vers les pages du site sont sur cette page d’accueil,
      Sur cette même page il y a également l’actualité du site qui change quasiment tous les mois
      Un historique complet de l’évolution du site est sur https://teuliere.github.io/historique-site.html
      Sur chacune des pages du site en bas de page il y a un lien permettant de revenir sur la page d’accueil.
      Le blog sur wordpress en fait ne me sert que comme espace de communication, car je n’ai pas moyen sinon de stocker les échanges que je pourrais avoir.
      Actuellement le gros de l’actualité du site est basé sur la retranscription des registres des affaires communales – peu palpitant je dois avouer, sauf pour moi à qui cela permet de faire le lien vers d’autres actualités et donc de dénouer certains liens historiques qui m’interessent personnellement.
      A venir, je pense faire
      un reportage sur la vallée de l’Ayguette jusque vers Roquefort et Counozouls (Nantilla, cap de Bouc, Sainte Colombes…), la suite de mes recherches de Courondes ancien prieuré dépendant de l’abbaye de Saint Martin Lys, voire Boulude,
      remonter le Rébenty avec randonnées autour de Joucou et Belfort
      rajouter des photos sur les grottes de Saint Martin…

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4. C’est génial ce que vous faite 😉

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5. Bonjour, voyez vous je suis fascinée par votre travail colossal , sa richesse et sa précision. Un jour j’ai décidé de « débroussailler » ce Défilé de Pierrelys que je contemple assidument à chaque passage (j’habite à 80 km en 66). J’ai fini par mettre mon projet à exécution, sur les traces de l’abbé Félix Armand alors depuis quelques temps je fais une ou autre incursion dans ce site et j’ai trouvé sur internet votre remarquable débroussaillage. Je n’ai pas tout lu, je découvre au fur et à mesure. là je suis à la recherche de l’ancien chemin qui précéda la route des gorges; j’en ai parcouru hier une bonne partie, que j’ai trouvée aujourd’hui dans vos articles, j’épluche vos cartes, et je vais y retourner pour la partie la plus compliquée, le passage au dessus des falaises. J’ai aussi trouvé le tracé du chemin qui descendait du Belvédère vers les Gorges; je sais son départ à chaque extrémité, je vais essayer de retrouver la partie manquante, à partir du belvédère puisque en bas, avec l’élargissement de la route tout est inaccessible. J’ai réussi dans un secteur de mon département (66) à retrouver d’anciens chemins complètement perdus, même sur les cartes, j’en ai fait ma « spécialité »; j’espère donc bien retrouver pas mal de tronçons au dessus de St Martin, que j’adore et où j’établis mon QG quand je fais mes recherches. C’est un secteur fabuleux car pas facile et j’ai du pain sur la planche. mais c’est ma passion. Félicitations à vous. Je tiens un blog, les Balades de Lison, j’ai publié 2 article sur St Martin et Pierrelys, je cite mes sources donc votre site.

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   1. Bonsoir Lison,
      Je vous remercie pour l’attention que vous avez porté à mon site.
      J’ai lu la page de votre blog sur Saint Martin – rando à Planèses – et vous en félicite, sa lecture très agréable, dommage que vous n’ayez pas accédé au pont naturel qui se trouve au niveau du point de vue sur le pont d’Aliès, s’est « la » curiosité de St Martin.
      Si on fait arriver l’ancien chemin de Quillan / Pierre-Lys par le chemin de Quirbajou comme le prétendaient certaines personnes âgées du village, l’arrivée à St Martin existe toujours. Par contre effectivement si on redescend juste au dessus du grand tunnel routier – autre chemin de Quirbajou – les éboulements successifs ont réduits les bouts de chemin restant à une part très congrues (quelques mètres à retrouver au hasard de la descente)
      Bonnes randos à venir

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      1. Voyez vous votre réponse rapide m’a agréablement surprise et quand on me parle de pont naturel mon sang ne fait qu’un tour parce que j’essaie autant que possible d’aller à leur rencontre . A condition de connaître leur existence . Donc je reviendrai c’est sûr, là bas, si vous voulez bien me donner une indication. Comme j’aurais pas mal de choses à vous demander si vous voulez bien satisfaire ma curiosité et ne pas me laisser passer à côté de certaines choses, je vous donne mon adresse mail amedine.mas@orange.fr. Je voudrais aussi vous parler de ces murettes visibles depuis la route (juste au dessus ) près du trou du Curé, j’ai ma petite hypothèse après observation des cartes anciennes et du site, je crois avoir vu dans votre travail une allusion à cela. puis il y a quelque chose aussi sur quoi vous vous êtes penché (je l’ai vu hier) à propos d’un chemin. J’ai fait avant hier celui qui part de Saint Martin et va rejoindre celui du haut, en passant par le grand rocher, il n’est pas porté sur la carte mais je l’ai trouvé, me souvenant d’avoir vu un embranchement sur la carte quand j’étais montée à la croix. J’ai d’autres perspectives, je fais tout sans GPS , en solo, et « au flair ». Cordialement, Amédine. Accepterez vous mes demandes de renseignements ?Je vais aller très prochainement sur site à nouveau

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      2. Bonsoir Amédine,
         Ma page sur https://teuliere.github.io/planeses-pont/planeses-pont.html il y a une description de l’accès au pont naturel.
         La route initiale tracée par Félix Armand ne suivait pas forcément le bord de l’Aude avec une pente continue. Notre bon curé malgré tout son courage n’était pas un professionnel des ponts et chaussées, même si son travail a plus tard reçu l’assentiment des personnes compétentes, il est possible qu’il ait parfois choisi de passer au plus facile. Pour le tracé de l’ancienne et de la « nouvelle » route le cadastre « napoléonnien » de 1829-1833 nous en apprend beaucoup et est surement le plus précis. Pour l’instant je ne peux proposer que celui de St Martin : https://teuliere.github.io/cadastre/cadastre.html
         Mais prochainement je pense aller aux archives départementales de l’Aude – ce sera l’occasion de récupérer cette partie des gorges sur ceux de Quirbajou et Belviannes.
         Pour le chemin de Quirbajou qui longe toute la vallée en hauteur et donne de beaux points de vue sur les gorges (surtout en hiver quand les hêtres ont tombé leurs feuilles…), https://teuliere.github.io/quirbajou/quirbajou.html
         Je vais vous envoyer un mail en parallèle.
         Bonne soirée

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6. Je suis retournée au Pont d’ Aliès et j’ai vu effectivement le site. je ne saurais manquer cette visite ! J’ai vu des débris au point de vue,, une espèce de roue de vélo et cela ne ma’ pas donné envie d’aller voir. Mais là j’y retournerai je trouve fabuleux ce site et ingénieux ce système naturel. Merci ! Entre temps, je viens de passer 2 jours à Quirbajou et j’ai bien avancé dans mon chemin si on peut dire. De quirbajou j’ai pris le chemin de Quillan qui s’apparente à une petite voie romaine dans sa conception des lacets notamment, j’ai suivi des chemins de chasseurs qui m’ont menée à de somptueux belvédères et à des avens, j’ai parcouru le chemin de Courtilles, dont on voit bien par traces l’architecture, j’ai réfléchi devant le pourquoi de ce chemin (exploitation d’un vallon car murets, raccourci pour ne pas faire tout le grand chemin des hauteurs ? une quelconque exploitation minérale au vu d’un gros câble ?), j’ai été sur des crètes au point de vue époustouflant, vu le grand effondrement qui fait une arche et entrevu un effondrement en préparation. Pour faire ce chemin je suis partie une première fois d’une extrémité par une piste de débardage désaffectée et la 2nde fois par le col de Fach. Je suis allée par un autre chemin de chasseurs dans une combe tout là haut, qui descend ensuite sur le défilé et là haut des murs témoignent aussi d’une exploitation. Pour terminer le chemin du Priou (le prieur) m’a donné la solution de ce que je cherchais. Chemin d’Axat à Belcaire passant par Quirbajou où un embranchement partait sur Quillan. Belle facture de ces chemins! J’ai cherché le départ invisible car détruit du chemin d’Axat / Belcaire au Pont du Rebenti, il serait intéressant de pouvoir le remonter jusqu’au col d’Agajos où se fait la jonction avec celui existant . Il me reste à parcourir sur ce côté le sentier à retrouver qui évitait le Trou du Curé avant son percement. On ne peut le prendre d’en bas, je sais où il est mais tout est démoli donc j’irai le chercher au belvédère. je ne fonctionne pas au GPS mais à l’instinct, la carte, la boussole et l’altimètre, très précieux pour trouver certains chemins. Je vous remercie pour tous ces renseignements, trouvés à mon retour. mais je reviendrai. Le mot Priou m’a mise sur la voie, j’ai compris que j’allais sur le chemin qui à la Serre de Casteilles plongeait sur St Martin (il n’est pas sur la carte) puisqu’il y avait un monastère à St Martin. Par contre le raccourci qui monte direct du tunnel à Casteilles, il doit être intéressant à condition de ne pas se perdre dans cette pente vertigineuse; à mon avis il ne doit plus exister depuis. Casteilles, Casteil d’en Prax…il doit y avoir quelques ruines mais dans cette végétation, cheminer est éprouvant. Je ne vois pas pourquoi on dit « chemin du facteur », quel courrier pouvait il aller distribuer là haut ? Et à qui surtout ? A moins qu’il ne fut habitant de Quirbajou…Ce n’est pas plutôt chemin du Prieur, déformé par la suite ? Je suis montée aussi au Roc de las Brouyères; un ancien chemin y arrivait mais dans ce fouillis végétal…Bref j’ai bien exploré en 3 randos ce WE et 25 km casse pattes et faisant bosser les méninges. Voyez vous, on peut habiter à 80 km et se passionner pour un bout de terrain où on n’a aucune racine et le décortiquer juste par coup de coeur et passion…Je dois faire aussi le trajet village / col de Saint Martin: cette pente soutenue me fait penser à un trajet de débardage . Je vous tiens au courant et vous remercie; la page du Cadastre je l’avais vue. Il y a tant de choses à voir sur votre site, c’est un lacis de sentiers ! Passionnants…Très cordialement et merci de m’avoir donné ces clefs

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   1. Bonsoir Amédine,
      Je pense que j’avais raté cette réponse et vous prie de m’en excuser.
      Effectivement le chemin du col de Saint Martin permettait de descendre à l’Aude les coupes de la forêt des Fanges. (Voir la page https://teuliere.github.io/halage/halage.html).
      Le port de Saint Martin permettait de stocker ces troncs avant de les descendre à Quillan quand le niveau de l’Aude le permettait (https://teuliere.github.io/port/port.html). (D’où le fait que le pont vieux – une passerelle sans arche) n’était pas au niveau du village mais plus en aval pour permettre de conserver l’espace suffisant à ce stockage (ce n’est qu’en 1858 qu’un premier projet de déplacement du pont a été proposé).
      Vos recherches sur les chemins de la Pierre-lys sont passionnantes.

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7. J’adore votre site c’est mon livre de chevet ! Instructif, avec des anecdotes aussi; ce sentier du bas j’en ai parcouru une partie un matin à mon réveil (je dors au pk) mais j’étais mal chaussée, sans bâtons, j’ai fait demi tour dans des éboulis pas possibles. J’ai trouvé sur les hauteurs de Courtilles, à côté du chemin ancien, justement un câble épais; je me demandais si c’était pour descendre du minerai (site de gypse semble t’il) mais je n’ai pas pensé au bois . Que pensez vous de cette trouvaille là haut ?

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   1. Bonsoir Amédine,
      Désolé de pas savoir vous répondre. Pouvez vous me préciser où se trouve les hauteurs de Courtilles ? Merci

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      1. Courtilles (du nom issu de gites à sangliers m’a t’on expliqué, ou enfin un lien avec les sites à sangliers) se trouve sur au dessus de Peyro Blanco, sur une sorte de plateau embroussaillé au possible et rocheux. J’y ai accédé pour la 1ere moitié, un peu à l’instinct par une piste désaffectée et un sentier de chasseurs et pour sa seconde moitié par El Fach. Ce parcours nettoyé par les chasseurs révèle un ancien chemin étayé par des murs grossiers. J’imagine que c’était un chemin d’exploitation puisqu’un vallon porte trace de murettes (on y trouve le panneau Nabines, c’est ainsi que l’es habitants de Quirbajou nomment Courtilles) . Il y a des curiosités naturelles, gisement de gypse, énorme « trou » d’effondrement surmonté d’un pont naturel, 40 m de vide effrayant, et un 2 eme vide en formation à côté quasi invisible et plus effrayant car c’est un goulet étroit. Pus loin on trouve également , dans une combe étroite où déboulent les eaux de pluie et sans doute une résurgence, un grillage qui abrite un trou sans fond (y a qu’à jeter un caillou et écouter). Peut être cela rejoint la grotte, mais je pense que ça donne plus en aval. C’est un paysage de sous bois mais le rare point de vue est grandiose, car en suivant les sentiers de chasseurs qui sont adjacents on découvre des belvédères époustouflants.. Ce chemin de Courtilles pouvait être aussi un raccourci pour éviter aux non charrois, piétons ou mulets, d’éviter le long trajet pas la « route de Quillan » qui monte en zigzags par la falaise au dessus de Quirbajou entre Pech Pelat et Suc de la Serre. Allez donc y faire un tour, ces curiosités naturelles sont à voir

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8. Ben ça alors ! Cette falaise me fascine depuis longtemps, j’ignorais qu’elle eut un belvédère, je savais pour avoir regardé le cadastre qu’un ancien chemin passait derrière, j’imaginais que c’était l’ancien chemin quand les gorges n’étaient pas carrossables et je disais l’autre jour à quelqu’un à la fontaine « j’aimerais bien le retrouver mais dans cette végétation, même pas la peine d’y rêver » et vous me rendez ce rêve possible…Merci

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9. Bonjour,
   Pour info, l’orthographe du nom du pilier qui joue à l’US Quillan et qui est cité dans la dépêche en 2011 est ARTHOZOUL.
   Cordialement.

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   1. Merci pour votre lecture attentive de ma page Artosoul
      Je raye la mention Arthauzoul que je ne sais plus trouver avec google.

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10. En 2023, On a retrouvé le chef de gare de St Martin Lys ☺️🥳!
    En 1921, La compagnie du Midi avait supprimé le poste de chef de gare pour St Martin Lys… ça veut dire que la gare ne vendait plus de billet et la manœuvre des aiguillages se faisait avec l équipage du train qui desservait la gare …

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11. Couronde : ne pas prendre le chemin que vous avez emprunté. En bout de « couronne » comme vous dite, la rivière suivait le fond du grand champ, ce village pouvait être au-desus, cela fait un replat après être monté de 80 m environ. Mais il n’y a aucune trace, un ancien décédé m’avait dit avoir vu un seuil de porte côté montagne (impossible à retrouver). Quant au cimetière, il était plus loin, il a été découvert lors du creusement de la route de marsa. A environ 900 m de la « couronne » (direction Marsa) il y a un tournant en épingle à cheveu, cet ancien m’avait dit avoir marché dans sa jeunesse sur les ossements se trouvant dans le talus de déblai entre le tournant et le Rébenty. A cet époque l’on se préoccupait peu d’archéologie, dommage.

    .

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12. « canal d’alimentation en eau du moulin en 1826 – ce canal aujourd’hui est comblé » Disons en partie, le canal a fait l’objet de travaux de réfection commandités par M. ROBIN (propriétaire du Retaurant du Rébenty) vers 1976 pour amener l’eau à sa pisciculture. SIFFRE François et GIMENEZ Ernest de Cailla y ont travaillé.

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    1. En réponse à Amédine, et en ce qi concerne le chemin du facteur, il était pratiqué dans les années 50 par le facteur d’alors M. Julien Campredon (décédé) qui amenait le courriers aux habitants de Quirbajou. A cette époque il restait quand même du monde au village, j’en ai connu alors âgés dans ma jeunesse. Campredon originaire de Cailla, montait le chemin le vélo sur le cou et redescendait par la route la tournée terminée. Ne pas trop se fier aux nouveaux habitants en ce qui concerne certaines traductions : courtilles = soue à cochon, par extention s’applique aux sangliers en ce qui concerne la bauge.

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13. « Le problème est sur la boucle bizarre que fait la limite … »,en ce qui concerne la limite St Matin/Cailla au Rébenty. L’on se place dos tourné vers l’amont dans le sens d’écoulement de l’eau, St Martin rive gauche et Cailla est donc rive doite et ce jusqu’à la rivière Aude. Ce qui selon la configuration du terrain la rivière Rébenty crée une boucle qui se referme en joignant la limite Cailla « Pic d’ Embrosse à l’Aude ». Un petit chemin partant de derrière le restaurant suit sur quelques dizaines de mêtres au dessus du talus la départementale menant à La Fajolle (D 107) et l’ancien chemin venant de La Prade (hameau de Cailla) où peut passer une charrette tombe sur la route D 107 à environ 150 mêtres du restaurant. Je suppose que cette boucle constituait dans les temps anciens le terain nécessaire aux divers propriétaires successifs de la maison actuellement un restaurant et de la petite maison d’en face. Comme l’on sait le moindre bout de terre était âprement disputé pour le rapport ou les commodités apportées ainsi que les accès divers. Des pâtures existaient au dessus du restaurant en montant vers le pic d’Embrosse.

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    1. Bonsoir André,
       Vous faites bien de parler du Hameau de La Prade, car c’est l’origine du différent qui a opposé les 2 communes en 1826 quand le cadastre « Napoléonien » a été dressé pour délimiter les 2 communes. Sur la droite du Rébenty il y avait un moulin farinier appartenant au propriétaire de La Prade (d’où la revendication de Cailla), mais qui payait ses impôts à St Martin (un accord pour faire venir les martinlysois moudre leur grain à ce moulin) (d’où la revendication de St Martin).
       Voir les délibérations des conseils municipaux de l’époque, pour celle de Cailla : https://teuliere.github.io/cadastre/cadastre.html?#cadastredelibaut, pour celle de St Martin https://teuliere.github.io/affaire-municipales/AffairesCommunales-registre2.html?#aff18260502del
       Au final la poire a été coupée en 2 en donnant la rive droite à Cailla et la Gauche à St Martin.
       Reste qu’en regardant le cadastre qui généralement est tracé à grande ligne droite entre 2 repères, la boucle de l’embouchure du Rébenty fait tout bizarre…

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       1. Bonjour,

          Oui et non, ils ont suivi le Rébenty jusqu’à la jonction avec l’Aude (cela fait déjà une bonne partie de la courbe) ce qui est logique. La maison des Dumont étant sur la commune de Cailla, la limite venant du Pic d’embrosse s’arrête aussi au confluent Rébenty – Aude (point de repère incontestable). Au passage ils ont pris les berges (nécessité surement), je crois qu’il y avait un petit bâtiment de l’autre côté de la route berge Aude. Faudrait que je demande à mon frère, jeune il laissait le vélo chez la vieille dame qui habitait la maison. En ce temps-là tout comptait, l’espace était nécessaire et les gens d’alors essayaient de s’arranger et ont peut-être vu que ce « bouclage » était logique.

          Cordialement.

          André.

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       2. Bonjour Teulière,

          En dehors de vos investigations : La dernière habitante de la famille Dumont habitant la maison du Rébenty, n’était-elle pas Laurence, Isaure SENIE 1897-1986, fille d’Antoine, Barthélémy SENIE et Maria DUMONT. Ma sœur jeune (vers 1960) lui amenait du pain d’Axat en revenant de son travail à la Poste, mais elle ne se rappelle pas de son prénom. Elle me dit qu’elle est enterrée au petit cimetière du Rébenty (j’ai un doute)?. Si vous en savez plus. Cimetière qui au passage n’est pas répertorié sur le plan cadastral de Cailla, en tant que tel, ni sa superficie ne fait l’objet d’un numéro spécifique. Et donc qui appartient au nouveau propriétaire des lieux (mon neveu) ce qui est causasse. Et que nous respectons de tout temps comme les anciens habitants de Cailla. Puis j’ai bien connu M. ROBIN (de Nantes) le restaurateur dans les années 1980, mais je crois que c’était son épouse qui était parente avec cette famille.

          Cordialement.

          PAGES André

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14. Les limites communales s’arrêtent au milieu de chaque rivière, ce qui également explique la boucle et donc que les bords (les breils) de chaque rivière appartiennent respectivement pour chacune à chaque commune. Je suppose qu’il était logique que Cailla ait accès à l’Aude rivière où pouvait flotter le bois d’oeuvre. Ce que décrit cet espèce de dessin en forme de coin s’enfonçant dans la commune de Saint Martin.
    Après la querelle entre chaque commune pour s’emparer du moulin était de bonne guerre.

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    1. Bonsoir André,
       J’ai reporté notre conversation sur la boucle du Rébenty sur la page du site https://teuliere.github.io/rebenty/rebenty.html?#andre
       Ainsi que les informations que vous m’apportez sur le cimetière Dumont / Sénié sur la page https://teuliere.github.io/perso-zephirin-dumont/zephirin-dumont.html?#andre
       Cordialement

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    2. En complément du texte rédigé le 20 juillet, j’ai lu dans  » Le flottage sur l’Aude et le commerce du bois de la haute vallée (XVIIIe-XIXe siècle) » que l’axatois Charles Quenel, pourtant qualifié de bouvier, doit lui-même conduire 200 pièces de hêtre « depuis le port du lieu de Cailla » jusqu’au moulin de Caderonne à Espéraza (paragraphe 58). Dans les ports on y apporte et emporte le bois tel « le port de Cailla à portée de la rivière de Rébenty ». A ce port y transite le bois (en grumes ou en « piles ») venant de la forêt de Madres (sis à Cailla) ainsi que celui de la forêt de la Serre du Clat (paragraphe 43).
       Ceci expliquerait donc le pourquoi de la logique du tracé de limites communales le long de la rivière du Rébenty jusquà sa jonction avec l’Aude.
       Il existe bien un lieu situé sous le village de Cailla et proche du Rébenty denommé le Port.
       A.P.

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15. bonjour ,
    juste pour vous préciser que je suis propriétaire de la carte postale écrite par le chef de gare de Lapradelle et que c’est moi qui avait organiser la rencontre de passionnes sur cette ligne et qu’a l’epoque c’est Jean Pierre Lescure qui c’est approprie cette carte sans m’en parler , de plus il oublie que je travaille toujours sur l’histoire de la construction de cette ligne avec des fonds de la famille de l’ingénieur Roche , enterre à Estagel , j’ai même son niveau d’éguot utilisé pour la construction de cette ligne !
    j’ai aussi un document complementaire à la carte postale de Lapradellle , c’est le registre interne de la gare de la meme epoque écrit par ce chef de gare qui confirme bien sa presence à cette époque et son identitée , au cas ou ça vous interesse !
    merci de bien vous renseigner sur vos sources meme si certaine personne vous confirme une autre origine !
    cordialement et à bientot .

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16. Bonjour, votre lien vers « Gallia christiana in provincia ecclesiasticas distributa. » ne fonctionne pas.
    Bravo pour votre travail, et merci de le partager.
    Cordialement.

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    1. Bonjour Dome,
       Merci de l’attention que vous avez porté à mon site. J’ai corrigé ce lien cassé,

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